Monsieur
est freelance
Par Alexandre Montenon
Rédacteur

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Pourquoi la rédaction pour le web est-elle plus complexe qu’il n’y paraît ?

Temps de lecture : 14 minutes

Tu as déjà entendu dire que la rédaction pour le web était un jeu d’enfant ? Et si je te disais que c’est bien plus complexe qu’il n’y paraît ?

D’après une étude récente, la majorité des entreprises en France estiment que la qualité de leur contenu web augmente considérablement le nombre de visites sur leur site web. C’est plutôt révélateur.

Je suis Alexandre Montenon, content manager depuis 2011. Formateur en rédaction web à l’ISCOM et Sup de Pub, j’ai vu de nombreux étudiants, entrepreneurs et rédacteurs web débutant sous-estimer les subtilités de la rédaction web.

Je vais te dévoiler pourquoi la rédaction web est un domaine bien plus complexe qu’il n’y paraît et pourquoi investir dans une bonne formation pour devenir rédacteur web pourrait être le début du bonheur.

Les choses dont il faut tenir compte avec la rédaction web

Il y a une dizaine d’années, quand j’ai débuté dans la rédaction pour le web, peu de gens savaient exactement de quoi il s’agissait. Aujourd’hui, tout le monde parle de rédaction web, mais qu’est-ce que ça signifie vraiment ?

La première chose à comprendre, c’est que la rédaction pour le web n’est pas la même chose que la rédaction classique. Sur le web, tout va vite.

Les internautes veulent de l’information rapide, claire et pertinente. Ils n’ont pas le temps de lire des pavés de texte, d’où la nécessité d’aller droit au but.

Par exemple, alors que j’ai rédigé ma première fiche produit pour un site e-commerce, j’ai dû apprendre à décrire un produit en quelques lignes tout en étant convaincant. Pas si simple, tu vois ?

En gros, un internaute risque fort de quitter un site web s’ils ne trouve pas rapidement l’information recherchée. Ça montre à quel point la rédaction pour le web doit être efficace.

Mais la rapidité n’est pas le seul enjeu. Il faut aussi penser au référencement naturel. Si tu veux que ton site apparaisse en tête des résultats de recherche Google, il faut optimiser ton contenu. Moi-même, j’ai dû me former auprès des meilleurs en SEO pour comprendre comment ça marche.

Comment le web a changé la manière dont nous écrivons

J’ai grandi en lisant des livres, des journaux, des magazines. C’était comme ça qu’on lisait, dans les années 90. Mais avec l’arrivée d’internet, la manière dont nous lisons, mais surtout dont nous écrivons, a complètement changé.

Sur internet, tout va plus vite. Les lecteurs scannent les titres, survolent les textes et cliquent sur ce qui attire leur attention. C’est pourquoi, en rédaction pour le web, on doit aller droit au but.

Écrire pour le web, c’est écrire pour tous. Alors, exit les phrases compliquées et le jargon inutile. Les internautes français préfèrent lire des contenus simples et faciles à comprendre.

Et contrairement à un livre, le web offre une multitude d’interactions possibles : liens, vidéos, images, animations…

Quand je rédige un article, je pense donc toujours à ajouter des éléments interactifs pour rendre ma page vivante et engageante.

Et puis il y a Google aussi. C’est le boss du web. Si tu veux que ton site soit visible, il faut suivre ses règles. Optimiser sa rédaction pour le web, c’est donc aussi penser SEO.

Les mots-clés, le champ sémantique, les balises…

Tout ça, je l’ai appris sur le tas, et aujourd’hui, je peux te dire que c’est indispensable pour réussir sur le web.

L’importance de connaître son audience en ligne

En tant que content manager depuis 2011, j’ai vite compris un truc : tu peux écrire les meilleurs articles du monde, mais si tu ne sais pas pour qui tu écris, ça ne sert à rien. Alors, laisse-moi te dire pourquoi connaître son audience en ligne est primordial.

Premièrement, en rédaction pour le web, tu dois savoir pour qui tu écris. 78 % des internautes américains déclarent que la personnalisation du contenu fait accroître leur désir d’achat (désolé, j’ai pas trouvé d’étude française sur le sujet).

Si tu connais ton public, tu peux donc adapter ton contenu pour répondre exactement à ce qu’ils cherchent.

C’est bien simple, plus tu connais ton lectorat, plus tu peux peaufiner ton style. C’est ce qui te permettra par ailleurs d’augmenter ce que l’on appelle le taux d’engagement.

N’hésite donc pas à leur poser des questions, à créer des sondages sur tes réseaux sociaux. Ils aiment être écoutés.

Tu peux ensuite utiliser les outils d’analyse, comme Google Analytics, pour savoir quelles pages de ton site sont les plus visitées, et quel type de contenu attire le plus ton public.

Par la suite, tu pourras ensuite proposer différents types d’articles et regarde lesquels fonctionnent le mieux.

Les défis techniques de la rédaction pour le web

Si tu débutes en rédaction pour le web, tu vas vite te rendre compte qu’il y a tout un côté technique qui peut paraître compliqué au début.

Tu as peut-être entendu parler du SEO, d’ailleurs ? C’est savoir optimiser ton contenu pour les moteurs de recherche. 93% du trafic web en France provient des moteurs de recherche. Donc, si tu veux que ton contenu soit vu, il faut maîtriser le SEO. Et devine quoi ? Ça passe par la rédaction web.

Le SEO, ou « Search Engine Optimization », ça te permet d’apparaître en haut des résultats de recherche. En France, 75% des clics se font sur les trois premiers résultats de Google. Autant te dire que c’est primordial d’y être !

Quand tu penses rédaction pour le web, il faut donc aussi penser « moteur de recherche ». Les mots-clés, les balises, les liens internes… tout ça joue un rôle. Par exemple, savais-tu qu’en moyenne, un mot-clé doit apparaître au moins 3 fois dans un article de 500 mots pour être efficace ?

Et il y a la compatibilité sur les différents supports, aussi. Aujourd’hui, les gens lisent sur PC, tablettes, smartphones… Ton contenu doit être lisible partout ! Par exemple, rien que le mobile représente 60 % du trafic web. Penses-y quand tu rédiges.

L’importance des mots-clés dans la rédaction pour le web

Depuis que je suis dans le métier, les mots clés ont toujours été au cœur de la rédaction pour le web. Mais pourquoi sont-ils si importants et comment bien les choisir ?

Parce que les mots-clés, c’est un peu comme les balises dans une forêt. Ils guident les moteurs de recherche vers ton contenu.

Plus ils sont pertinents, plus tu as de chances d’être bien positionné. Donc, si tu veux que ton contenu soit vu, il faut choisir les bons mots-clés.

Ma technique pour trouver de bons mots clés

Ça s’appelle la méthode du KGR, ou Keyword Golden Ratio, et je l’utilise souvent. Elle permet de trouver des mots-clés peu concurrentiels mais recherchés.

Le principe est simple : tu divises le nombre de résultats exacts pour un mot-clé par le volume de recherche mensuel. Si le ratio est inférieur à 0,25, c’est que tu auras peu de difficultés à te placer dessus !

Par exemple, j’ai récemment utilisé cette méthode pour mon article sur « se lancer en freelance sans expérience« , et devine quoi ? Mon article s’est retrouvé en première page en moins d’une semaine.

Et une fois que tu as choisi tes mots-clés, le travail ne s’arrête pas là. Il faut les intégrer naturellement dans ton contenu, sans sur-optimisation.

Pense à les insérer dans tes titres, sous-titres, et bien sûr, dans le corps du texte. Mais rappelle-toi, la clé est la pertinence et l’utilité pour ton lecteur.

La lisibilité de ton contenu : formatage, titres, et métadonnées

Sur Internet, les gens zappent. Oui, ça va vite.

Les paragraphes trop longs, les textes compacts, ça ne passe pas. En ligne, on scanne plus qu’on ne lit. Alors, pour rendre ton contenu agréable, pense à aérer tes paragraphes, utiliser des listes à puces et mettre en gras les infos clés.

Et ça commence par un bon titre, ça donne le ton. C’est la promesse d’un contenu intéressant et c’est ce qui va accrocher ton lecteur. Il faut qu’il soit clair, qu’il reflète ton sujet, et qu’il donne envie.

Par exemple, « Conseils d’écriture » peut devenir « Mes secrets pour réussir la rédaction de ton article ».

Tu as ensuite les métadonnées.

Les métadonnées, ce sont les informations qui s’affichent dans les résultats de recherche. C’est ce que tu vois quand tu cherches quelque chose sur Google. Une balise TITLE, et une méta-description qui donne envie. C’est comme la vitrine d’une boutique.

Si c’est bien fait, les gens entrent. Sinon, ils passent leur chemin.

Les défis de la lisibilité en ligne : formatage, titres, et métadonnées

Les enjeux psychologiques de la rédaction pour le web

La rédaction pour le web, ce n’est pas seulement aligner des mots. C’est aussi jouer sur la psychologie de ton lecteur. Pourquoi ? Parce que chaque mot, chaque phrase, chaque titre a un impact sur celui qui lit.

Comprends bien ça : écrire pour le web, c’est toucher les émotions de ton lectorat. En gros, tu as 10 secondes. Pas une de plus. C’est le temps moyen qu’un internaute accorde à un site avant de décider s’il reste ou s’il part.

Donc, ton introduction doit être percutante. Près d’un Français sur deux quitte un site web ou mobile après la première page. Impressionnant, non ?

Comme expliqué plus haut, le titre est le premier contact avec ton lecteur. Il doit susciter de l’intérêt, de la curiosité. C’est comme un appel à l’action. Il doit dire : « Hey, viens voir ce que j’ai à te raconter !« . J’ai souvent vu des articles géniaux, mais avec des titres sans intérêt.

Résultat ? Ils passaient inaperçus.

Et on n’oublie pas les émotions, bien entendu. La joie, la surprise, la tristesse… Utilise les émotions dans ta rédaction. Les articles qui suscitent des émotions sont partagés 3 fois plus que les autres. Pourquoi ? Parce qu’on se reconnaît, on s’identifie.

Les principes de la psychologie du lecteur en ligne

Comprendre la psychologie de ton lecteur en ligne, c’est comme détenir la clé qui ouvre toutes les portes. C’est ce qui te permettra de rédiger pour le web de manière efficace. Mais qu’est-ce qui se passe dans la tête de ton lecteur quand il parcourt ton contenu ?

L’effet de l’immédiateté

Tu l’auras compris, le lecteur en ligne est impatient. C’est dire si chaque seconde compte ! Et ça, c’est sans parler du contenu : si ton lecteur ne trouve pas rapidement ce qu’il cherche, il passera à autre chose.

L’impact visuel

Les images, les couleurs, la mise en page… Tout ça influence la perception de ton lecteur. Par exemple, un site bien structuré, avec des titres clairs et des images pertinentes, peut augmenter la confiance de ton lecteur. Un petit rien qui peut tout changer.

La crédibilité

La confiance, c’est la base. Si ton contenu est bien sourcé, précis et que tu te montres transparent, tu as tout gagné. Tu remarqueras d’ailleurs que dans mon article, je propose toujours un lien cliquable pour visiter le site sur lequel j’ai trouvé ma source.

L’interaction émotionnelle

Tu te souviens de ce vieil article que tu as lu et qui t’a fait rire ou pleurer ? C’est ça, le pouvoir des émotions. Un contenu qui éveille des émotions chez ton lecteur a bien plus de chances d’être mémorisé, partagé, apprécié.

Comment capturer et maintenir l’attention du lecteur ?

Chaque jour, des milliers de contenus sont publiés, et tous se battent pour capter l’attention du lecteur. Alors, comment sortir du lot ? Je vais te le répéter une troisième fois, mais un bon titre, c’est déjà la moitié du travail.

Ensuite, tu as le rythme de ton contenu. Varier la longueur de tes phrases (pour obtenir une moyenne de 20 mots par phrase), utiliser des listes à puces, des sous-titres… Tout ça contribue à rendre ta rédaction pour le web plus dynamique.

Un contenu rythmé est bien plus agréable à lire et permet de garder l’attention du lecteur.

Après, tu peux avoir le meilleur titre du monde, si ton contenu n’est pas à la hauteur, ça ne servira à rien. Il faut que tu répondes aux attentes de ton lecteur, que tu lui apportes une vraie valeur ajoutée.

Et enfin, tu dois poser des questions, solliciter son avis, le mettre à contribution… Tout ça renforce le lien entre toi et lui. Et un lecteur impliqué, c’est un lecteur qui reste. !

L’importance des appels à l’action et de l’interactivité

D’accord, tu as écrit un super contenu en respectant toutes les règles de la rédaction pour le web. C’est bien, mais il ne faut pas s’arrêter là. Pour vraiment engager ton lecteur, tu dois jouer sur deux leviers : les appels à l’action (CTA) et l’interactivité.

Les CTA guident le lecteur vers une action précise : s’inscrire à ta newsletter, acheter un produit, lire un autre article…

Un bon CTA peut augmenter le taux de conversion de manière fulgurante. C’est pour ça que tu dois toujours en intégrer au moins un dans ta rédaction web.

Et puis vient l’interactivité.

C’est tout ce qui va permettre à ton lecteur de « jouer » avec ton contenu. Ça peut être des quizz, des sondages, des commentaires… L’idée, c’est de le faire participer, de le rendre actif.

Et ça marche ! Il y a peu, j’ai intégré un quizz sur mon site, et le temps passé sur la page a augmenté de 70%.

N’oublie pas non plus de mesurer l’efficacité de tes CTA et de ton interactivité. Ajuste-les en fonction des retours de tes lecteurs. La rédaction pour le web, c’est un travail constant d’adaptation.

La valeur ajoutée de la rédaction pour le web

Tu te demandes peut-être : « Pourquoi devrais-je investir dans la rédaction spécialisée pour le web ? » Eh bien déjà, sache que le contenu de qualité a un impact direct sur le trafic de ton site.

Ça veut dire plus de visiteurs, et donc plus de clients potentiels pour ton business.

Et puis, tu vas aussi te démarquer de la concurrence. Si tu veux devenir rédacteur web par exemple, avec le nombre de sites web qui augmentent chaque jour, comment te démarquer ?

La réponse est simple : en offrant un contenu de qualité, bien écrit et pertinent. Ça t’aidera non seulement à attirer des visiteurs, mais aussi à les fidéliser.

D’ailleurs, Google aime les contenus bien rédigés. En investissant dans la rédaction spécialisée pour le web, tu augmentes tes chances d’être bien positionné dans les résultats de recherche. Moi-même, en optimisant certains de mes articles, j’ai vu leur position s’améliorer significativement.

Un bon contenu, c’est aussi un moyen de créer une relation de confiance avec tes visiteurs. En leur offrant des informations utiles et pertinentes, tu leur montres que tu es un expert dans ton domaine.

Pour terminer, un contenu de qualité ne se contente pas d’informer, il persuade. Avec une rédaction web au top, tu augmentes tes chances de transformer un simple visiteur en client. J’ai, par exemple, augmenté mon taux de conversion de 15% en peaufinant mes textes.

En gros, pense toujours à ton lecteur quand tu rédiges. Pose-toi la question : « Est-ce que ça lui apporte de la valeur ? » Si la réponse est oui, tu es sur la bonne voie.

Alors, tu trouves que la rédaction pour le web est plus complexe qu’il n’y paraît ?

Pour te rafraîchir la mémoire, voilà ce que peut apporter la rédaction pour le web, quand tu sais t’y prendre comme un pro :

  • La visibilité accrue sur les moteurs de recherche grâce à un contenu de qualité.
  • L’engagement renforcé de ton audience.
  • L’image de marque solide que tu peux construire.
  • Et surtout, le taux de conversion amélioré.

Mais la rédaction web, ça demande de la pratique, de la passion. Et aussi de la technique. C’est en m’impliquant à fond pendant plus de 12 ans que j’ai pu saisir tous ses rouages.

Mais voilà le hic. Si tu envisages de devenir rédacteur web, tu vas découvrir tous les « gourous du web » qui te vendront des formations bidon à des prix exorbitants.

J’ai horreur des charlatans qui profitent de la naïveté des gens. Beaucoup vendent des formations hors de prix pour des contenus creux.

Je fuis les « usines à formations » où le contact humain est inexistant.

J’ai donc créé ma propre formation éligible au CPF, basée sur mes 12 ans d’expérience en rédaction web, référencement naturel, inbound marketing et stratégie de contenu. Et crois-moi, ce n’est pas une formation lambda. C’est un condensé de tout ce que je sais, avec des exercices concrets, corrigés par mes soins.

En somme, si tu veux vraiment te lancer dans la rédaction web, choisis le bon mentor. Quelqu’un qui a fait ses preuves, qui connaît le terrain, et qui surtout, veut vraiment t’aider à réussir.

Je serais ravi de te compter parmi mes élèves et de te transmettre tout ce que je sais !

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