Tout savoir sur le métier de rédacteur web (garanti sans blabla)

Temps de lecture : 16 minutes

Par Alexandre Montenon, content manager SEO et formateur en rédaction web depuis 2011.

Tu connais le métier de rédacteur web ? C’est un boulot qui devient de plus en plus populaire ces derniers temps, mais beaucoup ne savent pas vraiment ce que c’est, ni comment se lancer.

Tiens, un petit chiffre sympa : en 2022, la moitié des gens qui bossent dans le marketing en France ont décidé de mettre plus d’argent dans le contenu web.

Ça veut dire que la rédaction web, c’est hyper important et qu’il y a encore plein d’opportunités pour toi si tu te lances dans ce métier !

Moi, c’est Alexandre Montenon. Je fais du content management depuis 2011 et je donne des cours en stratégie éditoriale à l’ISCOM et à Sup de Pub.

J’ai appris en faisant, en me trompant parfois, et en réussissant d’autres fois. Je sais que le chemin pour devenir rédacteur web peut avoir des hauts et des bas, mais c’est aussi incroyablement gratifiant.

En tant que rédacteur web senior, je vais partager avec toi tout ce que j’ai appris pendant ma carrière et je vais te filer des conseils pour bien démarrer dans la rédaction web.

Tu vas trouver des petits trucs à appliquer et des astuces qui vont t’aider à devenir rédacteur web !

Comprendre le métier de rédacteur web

Quand j’ai démarré dans le métier de rédacteur web en 2010, on ne parlait pas vraiment de rédaction web (on utilisait d’ailleurs le terme de e-redacteur, pour parler du métier). Ce n’était pas ce truc branché dont tout le monde parle aujourd’hui.

C’était quelque chose d’encore embryonnaire, surtout en France.

Et pourtant, aujourd’hui, c’est un pilier fondamental du marketing digital.

Alors, qu’est-ce que c’est réellement, ce métier du rédacteur web ? C’est savoir de rédiger des textes qui sauront séduire tes lecteurs. Mais aussi plaire à Google et les autres moteurs de recherche.

Car oui, si Google n’aime pas ce que tu écris, peu de gens le liront. Et tous tes efforts de rédaction seront réduits à néant.

En gros, 77% des clics se concentrent sur les 3 premiers résultats Google. Et ça, c’est du trafic gratuit, des visiteurs que tu n’as pas besoin de payer pour attirer sur ton site.

En 2019, 13,1% des freelances dans le digital en France étaient déjà rédacteurs web (j’ai eu du mal à trouver des chiffres plus récents). Ça te donne une petite idée de la popularité montante du métier.

Il ne suffit pas de savoir écrire

Quand j’ai commencé à rédiger pour le site e-commerce de mon coloc, je me suis vite aperçu qu’écrire pour le web, ce n’est pas juste aligner de jolis mots. Non, il faut que ça soit lisible, compréhensible et surtout, trouvable par Monsieur et Madame Tout-le-Monde sur Google.

La rédaction web ne se résume pas uniquement à écrire : c’est aussi une question de positionnement SEO, de comprendre ce que veulent les gens et de le leur servir sur un plateau d’argent.

Des astuces, je peux t’en donner une qui m’a bien servi : la vulgarisation. Tu dois utiliser une langue simple et claire. Tu vois, quand je rédige, je m’imagine expliquer le sujet à un enfant. Un peu comme je suis en train de le faire dans cet article.

Ça aide à garder le texte accessible et agréable à lire. Et crois-moi, même des sujets complexes peuvent être décomposés en paragraphes simples, digestes et parfaitement compréhensibles !

Pourquoi c’est important dans le marketing digital ?

En tant que professionnel dans le domaine de la rédaction web, j’ai moi-même constaté à quel point le contenu joue considérablement sur le marketing digital, à travers de nombreuses campagnes et stratégies. Le métier de rédacteur web, ça va bien au-delà de la simple rédaction de textes, c’est une responsabilité, celle de communiquer efficacement le message d’une marque et de favoriser l’engagement des utilisateurs.

Les mots permettent non seulement de partager une information, mais aussi de connecter, de convaincre et de convertir.

Prenons un exemple concret, dans une de mes campagnes de content marketing pour une jeune start-up de e-commerce, en modulant les descriptions produits et en optimisant le contenu pour le SEO, on a pu observer une hausse de 30% du taux de conversion sur 6 mois.

T’es-tu déjà demandé comment certains contenus arrivent à te captiver plus que d’autres ? Tu sais, ce n’est pas un hasard. Quand je forme mes étudiants à l’ISCOM et Sup de Pub, je mets l’accent sur l’UX writing, soit la rédaction de contenus orientés utilisateur (c’est ce que l’on appelle l’expérience utilisateur).

Toujours placer l’utilisateur au cœur du contenu

Quand tu rédiges, tu dois comprendre les besoins de ton lecteur, ses attentes et y répondre de manière précise. Un bon contenu web, c’est celui qui apporte une valeur ajoutée à celui qui le lit, qui résout un problème. Ou qui répond à une interrogation.

Et puis, il y a l’aspect SEO, qui est indissociable du métier de rédacteur web :

  • Le choix des mots-clés
  • La hiérarchisation des titres et sous-titres
  • La densité du mot-clé

Tout ça, c’est indispensable pour rendre un contenu visible sur les moteurs de recherche.

Les qualités rédactionnelles dans le métier du rédacteur web

La rédaction web, c’est une discipline qui peut paraître simple au premier abord. Mais ça demande un certain nombre de compétences et une sacrée maîtrise de la langue. Et je ne te dis pas ça au doigt mouillé : j’ai quand même 12 ans d’expérience dans le domaine.

Quand tu vas te lancer dans la rédaction web, la première chose que tu vas remarquer, c’est que la qualité rédactionnelle est reine. Pourquoi ? Eh bien, disons simplement qu’internet est saturé de contenus.

Si tu prends un secteur comme la mode, on recense plusieurs centaines de milliers d’articles publiés chaque mois rien qu’en France. Autant te dire que pour sortir du lot, il faut non seulement des idées pétillantes, mais aussi une manière impeccable de les exprimer.

Les articles de blog représentent d’ailleurs 77% des commandes traitées par les rédacteurs web.

Éviter les fautes d’orthographe et de grammaire

Je pense que tu t’en es rendu compte : le français est une langue riche et complexe, et bien l’utiliser, c’est une vraie compétence. Il ne faut pas tout simplement connaître les règles grammaticales ou d’avoir un vaste vocabulaire. C’est aussi savoir jouer avec les mots, créer des images dans l’esprit de celui qui te lit, et ça, c’est pas donné à tout le monde.

Clairement, le style et la grammaire sont des critères de pertinence pour un site web. En gros, si tu fais des fautes, tu perds en crédibilité aux yeux de tes lecteurs.

Adapter son style à sa cible

Chaque mot, chaque tournure de phrase doit être choisi avec soin pour coller à ton public cible. Si tu écris pour des adolescents, ton style sera dynamique, avec des phrases courtes et un vocabulaire actuel.

À l’inverse, si tes lecteurs sont des experts, tu devras montrer ta maîtrise du sujet avec un langage plus technique et précis.

Ce que tu dois savoir sur le référencement naturel

On va maintenant parler d’une casquette vraiment fondamentale dans le métier du rédacteur web : le SEO et la recherche des mots clés. Tu te souviens de la fois où tu as cherché une recette en ligne ?

Tu as probablement tapé quelque chose comme « meilleure recette de crêpes » dans Google. Ou « recette de galette des rois à la crème de marron« . Et paf, une liste d’articles s’est affichée. Le SEO, c’est un peu ce petit tour de magie qui permet à un article de se retrouver sous tes yeux lors quand tu fais une recherche sur Google.

Le SEO pour les nuls

En fait, le SEO (Search Engine Optimization), c’est un ensemble de techniques qui aide un contenu à être bien positionné dans les moteurs de recherche. Et j’en ai vu, des articles super bien rédigés et qui passent totalement inaperçus, juste parce qu’ils n’étaient pas optimisés pour le SEO.

C’est un peu comme cuisiner le meilleur plat du monde et ne le servir à personne ! Le SEO, c’est ce qui va mettre en valeur ton plat pour qu’il soit vu (et mangé) par le plus grand nombre.

Le rôle des mots-clés

Les mots-clés, ça joue un rôle énorme dans tout ça. Par exemple, si tu rédiges un article sur la réparation de vélos, tu dois t’assurer que les personnes qui recherchent des astuces pour réparer leur vélo te trouvent facilement.

C’est pourquoi tu vas devoir optimiser ton champ sémantique, avec des mots comme « réparation », « vélo », « astuces », ou « DIY ». Histoire de guider les moteurs de recherche vers ton article. Et c’est en associant judicieusement ces mots-clés à un contenu de qualité que tu vas faire mouche.

L’astuce suivante, c’est de glisser ces mots-clés à des endroits stratégiques : dans le titre H1, les sous-titres H2 et H3, et bien sûr, tout au long de ton texte. Mais attention, il faut que ça reste naturel.

Si tu répètes bêtement le même mot toutes les deux phrases, non seulement ça sera désagréable à lire, mais en plus, Google n’aimera pas ça du tout (c’est ce que l’on appelle du keyword stuffing, ou bourrage de mots clés).

Il faut que ça coule, que ça soit agréable à lire tout en restant informatif. Et crois-moi, ça peut sembler complexe, mais avec de la pratique, tu verras, ça devient un jeu !

Comment travailler en freelance dans le métier du rédacteur web ?

Quand on parle du métier du rédacteur web, le travail en freelance s’invite souvent dans la conversation.

Tout d’abord, travailler en freelance, c’est choisir une liberté qui peut être vraiment grisante. Tu choisis tes projets, tes clients et tes horaires. En 2022, la France comptait près de 3,39 millions de freelance de 15 ans, une augmentation énorme par rapport aux années précédentes.

Pourquoi ?

Parce que cette liberté attire. Ça permet de gérer son emploi du temps avec une flexibilité qui est souvent impossible en tant que salarié. Et pour la rédaction web, ça peut être un vrai bonheur de pouvoir écrire quand l’inspiration vient. Moi, ça m’arrive souvent la nuit, par exemple !

Mais tu t’en doutes bien, être freelance, c’est aussi faire face à des défis parfois coriaces. L’insécurité financière en fait partie. Les revenus des freelances peuvent grandement varier d’un mois à l’autre.

Par exemple, moi, il y a des mois où mon planning est plein à craquer et d’autres, étrangement silencieux. C’est une montagne russe émotionnelle qu’il faut savoir gérer. Et puis, il y a l’administration, les factures, les relances… Tout un charabia administratif qui te demande une sacrée organisation.

Mes conseils pour ta future vie de freelance

Un conseil que je te donnerais, c’est de bien te préparer. Avant de te lancer, assure-toi d’avoir un petit coussin financier et surtout, un réseau solide sur lequel tu peux compter. Ça m’a beaucoup aidé d’avoir 6 mois de trésorerie devant moi, avant de me lancer.

Ne néglige pas non plus l’aspect administratif et si possible, entoure-toi de personnes qui peuvent t’aider dans ces domaines.

Et pour finir, tu dois te former en continu : ça va non seulement booster tes compétences en rédaction web, mais aussi te donner un coup de pouce pour gérer ton activité de freelance.

La rédaction web, un océan rouge

Le concept de l’océan rouge, ça vient du livre « Blue Ocean Strategy » écrit par W. Chan Kim et Renée Mauborgne. En gros, c’est pour expliquer qu’un marché est saturé et que les entreprises sont en concurrence féroce.

Ça peut paraître intimidant au premier abord, mais en France, on observe une augmentation du nombre de rédacteurs web en freelance.

Il y a eu une hausse de 85% du nombre de micro-entrepreneurs, incluant les rédacteurs web, entre 2019 et 2020. C’est dire à quel point la concurrence est rude !

Ça fait peur, hein ?

Au contraire, avec un peu de jugeotte, tu peux te démarquer, même dans un océan rouge. Pour ma part, j’ai toujours cru qu’être différent et proposer quelque chose d’unique était la clé. Par exemple, spécialise-toi dans un domaine que tu maîtrises et que tu aimes vraiment. Et puis, sois toi-même, authentique, car les clients achètent aussi la personne derrière le travail.

À lire aussi : Devenir rédacteur web spécialisé : comment choisir une spécialité ou un domaine d’expertise ?

Se former pour apprendre le métier du rédacteur web

Tout commence par les bases, et dans la rédaction web, les fondations, c’est ta formation initiale. En 2011, je n’ai pas eu la chance de trouver une formation rédaction web qui me donne non seulement les outils pour écrire, mais aussi pour comprendre le SEO, le marketing de contenu, et tout ce jargon un peu barbare au début.

J’ai dû tout apprendre tout seul.

En France, de plus en plus de gens exprime de l’intérêt pour les formations en rédaction web. Il n’y a pas une semaine où je ne reçois pas un coup de fil d’une personne qui doit remplir une enquête pour devenir rédacteur web.

Et puis, ce qui est fantastique dans notre métier, c’est que tout bouge tout le temps ! Les algorithmes changent, les tendances évoluent, et les attentes des lecteurs aussi. Donc, un conseil que je te donne, c’est de toujours garder une oreille attentive et un œil curieux sur les nouveautés.

Lis des blogs, participe à des webinaires, inscris-toi à des newsletters, fais-toi un réseau de collègues avec qui partager tes découvertes.

La formation continue n’est pas juste une option, c’est une nécessité. Selon Moz, les algorithmes de Google se modifient environ 500 à 600 fois par an. Si tu ne restes pas à jour, ton écriture, aussi canon soit-elle, risque de ne pas rencontrer son public.

Et crois-moi, il n’y a rien de plus frustrant pour un rédacteur web que des contenus qui restent dans l’ombre.

Construire un portfolio et trouver ses premiers clients

Quand j’ai démarré ma carrière, construire un portfolio m’a donné du fil à retordre. Je voulais quelque chose qui soit à mon image, sans savoir exactement comment m’y prendre. J’ai fini par comprendre qu’il fallait surtout que je montre ce que je sais faire !

Si l’on regarde de plus près, la plupart des freelances en France utilisent un site web pour montrer leurs références. Pas besoin de faire compliqué.

Un site clair, qui dévoile tes meilleurs contenus, avec peut-être une petite présentation sympa de toi, ça fait l’affaire.

Décrocher ces premiers clients tant convoités

Et ensuite, il y a les clients. Au début, on a tous peur de ne pas en avoir assez. Je me souviens avoir usé beaucoup d’énergie à chercher partout, sans vraiment savoir où regarder. Et puis, petit à petit, j’ai compris que mon réseau, même s’il était petit, il était précieux.

Le bouche-à-oreille, ça marche du tonnerre, crois-moi. D’ailleurs, pour ne pas lancer de chiffres au hasard, tu serais surpris de savoir combien de contrats peuvent être décrochés juste parce que quelqu’un connaît quelqu’un. Et ça, je ne m’en rends compte que maintenant.

Pour ma part, j’ai toujours tout misé sur le référencement naturel et ma visibilité sur Google.

Et si tu n’as pas encore créé ton site de rédacteur web, essaie de le faire de manière simple et sincère. Il y a plein d’outils aujourd’hui qui te permettent de créer un site pro facilement et à moindre coût, comme Wix ou Carrd.

De salarié à freelance : mon itinéraire atypique

Mon parcours n’a pas toujours été lié à la rédaction web. Non, avant ça, je travaillais dans de grandes enseignes, où ma mission principale était de m’assurer que tout le monde connaissait les produits de grandes marques, comme ceux de Nestlé.

Après avoir repris mes études en marketing, j’ai remis le pied à l’étrier, mais cette fois chez Unilever, et c’est là que tout a changé.

Et puis un jour, un seul événement peut tout bousculer. Pour moi, c’était une altercation avec un concurrent de chez Liebig. À ce moment-là, j’ai compris que le salariat, ce n’était plus pour moi. J’avais des idées, des projets et il était temps de leur donner vie.

C’est en discutant avec mon colocataire que j’ai découvert le métier du rédacteur web. Lui, il vendait des fers à lisser en ligne et avait besoin de quelqu’un pour écrire de jolies descriptions pour ses produits.

Et moi, j’ai relevé le défi !

En 2010, le métier de rédacteur web n’était pas aussi connu qu’aujourd’hui, et nous étions peu à nous lancer dans cette aventure. Les formations n’existaient pas et j’ai dû apprendre sur le tas, en observant ce que faisaient ceux qui étaient déjà lancés dans cette voie.

Les leçons que j’ai apprises et mes conseils pour les débutants

On va commencer par quelque chose de simple : la rédaction web, c’est pas toujours facile. Ça demande du talent, de l’expérience, et parfois, d’apprendre de ses erreurs.

À mes débuts, je passais des heures à peaufiner un texte pour qu’au final, il ne soit pas toujours apprécié ou bien référencé sur les moteurs de recherche. Et ça, c’est un peu le jeu : parfois on gagne, parfois on apprend !

Mon premier conseil : sois toi-même

Le premier conseil que je pourrais te donner, c’est d’oser être toi-même dans tes écrits. Au début, je me perdais parfois à vouloir écrire ce que je pensais que les gens voulaient lire, au lieu de simplement partager ma propre voix et mes idées.

C’est quand j’ai commencé à insérer ma personnalité dans mes textes que tout a vraiment décollé !

Mon deuxième conseil : ne jamais te laisser abattre

J’ai fait mon lot d’erreurs, c’est sûr. Des fautes d’orthographe qui traînent, une recherche de mots-clés pas assez approfondie, ou des sujets pas assez fouillés… Mais chaque erreur a été une étape pour faire mieux la prochaine fois.

L’important, c’est de persévérer et de continuer à apprendre et à s’ajuster. La rédaction web est un domaine en constante évolution, et la clé, c’est de rester curieux et ouvert.

On a fait le tour sur le métier de rédacteur web

Débuter dans le métier de rédacteur web n’est pas une mince affaire. Les charlatans du web promettent monts et merveilles avec leurs formations miracles, mais qui, au final, offrent peu de substance et encore moins de support.

Ces personnes profitent de la méconnaissance des autres, les laissant souvent des euros en moins sur leur compte en banque et un tas de vidéos inutiles.

Moi, je suis fatigué de voir ça, et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai créé ma propre formation en rédaction web. J’en ai eu assez de voir des programmes hors de prix et franchement pas à la hauteur.

Ma formation, c’est 12 ans d’expérience dans ce domaine, avec des modules clairs, des exercices pratiques, et surtout, corrigés personnellement par moi, pas par un inconnu. Je veux que chaque personne qui choisit d’investir dans ma formation ressente la valeur et voie un réel impact dans ses compétences et sa carrière.

Et surtout, fais attention aux promesses trop belles pour être vraies. Si tu choisis de suivre une formation, assure-toi qu’elle soit riche, personnalisée et qu’elle te pousse vers l’avant.