Digital nomade : 5 commandements pour partir bosser à l’autre bout du monde

Temps de lecture : 5 minutes

Par Alexandre Montenon, content manager SEO et formateur en rédaction web depuis 2011.

Les dés sont jetés : je pars, d’ici peu, vivre plusieurs mois en Asie, accomplir le rêve de tout nomade digital. Même si j’adore Lyon, et même si j’adore La Cordée (mon espace de coworking), quitter mon bureau clos, le temps d’un grand break, va remplir mon esprit de tout plein de souvenirs mémorables. La raison de mon article est donc toute trouvée : vous expliquer comment travailler à l’autre bout du monde. Et en 5 commandements. C’est parti !

1/ Premier commandement : une activité de freelance, tu trouveras

 

Un digital nomad avant tout, c’est quoi ? Un ordinateur, une connexion internet et un statut d’autoentrepreneur (ou tout autre type d’entreprise individuelle). Voilà les trois critères primordiaux qui vous permettront de vous lancer à l’autre bout du monde.

Pour ma part, j’ai lancé mon activité dans le marketing digital, et plus spécialement dans le référencement naturel. Je vous rassure, d’autres activités en freelance permettent le nomadisme. Rédacteur web, designer graphiste, community manager, concepteur de site web… En fait, tout ce qui permet de travailler à distance, sans avoir besoin de rencontrer vos clients.

2/ Deuxième commandement : un espace de coworking, tu chercheras

 

Alors bien sûr, qui dit activité de freelance, dit ordinateur. Et qui dit ordinateur, dit connexion internet. Deux choix s’imposent alors à vous : soit se préparer à travailler dans un espace public, avec tout le brouhaha bien connu des cyber cafés, Starbucks et consorts (pourquoi pas une bibliothèque, sinon ?), soit trouver un espace de coworking.

Mon choix est déjà fait : je vais opter pour les bureaux partagés. Pourquoi ? 1/ La tranquillité et la sûreté du lieu de travail. 2/ Les nouvelles rencontres et le mélange de culture. Pas très compliqué de trouver : il suffit de taper le pays où vous vous rendez dans https://www.coworker.com/, et vous obtiendrez la liste de tous les espaces de coworking !

Ma recherche à Ho Chi Minh City, au Vietnam :

5 euros la journée, c’est beaucoup moins cher qu’en France !

3/ Troisième commandement : pour un hébergement, tu opteras

 

Alors évidemment, dans mon cas, ce n’est pas compliqué : si je veux travailler dans un espace de coworking de manière régulière, je vais opter pour un hébergement en Airbnb pour une période déterminée.

D’ailleurs, le backpacking n’est pas d’actualité pour mon séjour. En revanche, d’autres plus aventureux accepteront sans sourciller le nomadisme à 100%. Chez l’habitant, en tente, en camping-car, en caravane, en van aménagé (cliquez ici pour savoir quel van aménagé choisir, justement). Alors, vous choisissez quoi comme hébergement à l’étranger, vous ? Plutôt on the road, ou plutôt sédentaire ?

4/ Quatrième commandement : sur des blogs, tu t’informeras

 

Sur Internet, on trouve une pléiade de blogs sur les nomades digitaux (c’est d’ailleurs pourquoi je commence mon blog par ce sujet, mais ne continuerai pas là-dessus). On a d’ailleurs bossé, avec mon collègue Matthieu Verne, sur la visibilité d’un de ces blogs : https://www.kalagan.fr/.

Personnellement, c’est Corinne, du blog https://www.vie-nomade.com/ qui m’a donné envie de partir à l’autre bout du monde. Ses articles sont intéressants, détaillés et vendent du rêve à chaque ligne. Bon, et puis il y a aussi Le Sac à Dos, blog d’un digital nomad « totalement indépendant au niveau du travail, et que c’est moi qui choisis où installer mon bureau ». Fouillez sur Google, vous en trouverez plein !

5/ Cinquième commandement : de la motivation, tu auras

 

Steve jobs disait à juste raison :

« Si vous ne travaillez pas pour vos rêves, quelqu’un vous embauchera pour travailler pour les siens« .

C’est un peu le leitmotiv qui m’a poussé vers la voie de l’entrepreunariat. Mais bien entendu, ça implique de se booster le moral tous les jours, toutes les heures, toutes les nuits. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui font échouer l’autoentrepreneur dans son voyage à l’autre bout du monde : il se concentre parfois un peu trop sur les plaisirs et découvertes, que sur le développement de son business.

Sachez faire la part des choses ! Plusieurs choix et organisations sont possibles :

• travaillez de 9 heures à 13 heures, puis profitez de vos après-midis,
• travaillez un jour sur deux
• travaillez du lundi au jeudi, puis accordez-vous un week-end de 3 jours
• déléguez, en faisant sous-traiter votre travail à des prestataires de service, etc.

Besoin de blogs pour vous motiver ?

La chaine YouTube d’Olivier Roland
La chaine YouTube de Marketing Mania

 

Alors, envie de partir à l’autre bout du monde ?